été
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Mes 3 indispensables en été
vendredi, août 12, 2016
Mes vacances, ce sont un peu de montagne pour faire de la randonnée dans les Pyrénées et quelques journées à la plage auprès de l'océan. Si à chaque fois, je prépare mes affaires avec soin, j'ai remarqué que j'emportais toujours avec moi les mêmes produits. Alors aujourd'hui, je vous présente mes indispensables de vacances que ce soit à la montagne ou à la plage.
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15 idées d'articles (beauté) pour bloguer l'été + printable
mercredi, juillet 27, 2016
Pour un été inspiré
Ah l'été sur la blogosphère!. Durant cette saison, la blogosphère fond comme une glace oublié au soleil. Les blogueurs font des pauses et c'est bien normal. Moi, j'aime beaucoup cette période car elle permet de travailler à la cool sans stress, d'expérimenter et de s'organiser pour la rentrée. Du coup, je vous ai concocté un article à ce sujet avec une liste de 15 idées pour bloguer en toute tranquillité l'été.
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3 idées pour bloguer en été
vendredi, août 14, 2015
Sur la blogosphère, il y a beaucoup de généralité dont celle que l'été est une période creuse, qu'il n'y a plus d’interactions, moins de visites, que tout le monde est en vacances et que la blogo est morte. C'est étrange car je n'ai pas du tout ce ressenti, pour moi la période morte c'est plutôt les fêtes de fin d'année et les périodes d'examens en mai et juin. J'aime énormément blogger l'été car l'ambiance est beaucoup plus relax, sûrement parce que je suis plus relax.
10 bonnes raisons de passer ses vacances d'été à la montagne
samedi, août 08, 2015
La Montagne, ça vous gagne même en été
Tout comme l'an dernier, je vais passer mes vacances d'été à la montagne à l'instar de 7% des français. Mais pourquoi donc aller à la montagne d'été. Pour des tas de raisons, aujourd'hui je vais vous en donner 10. Il faut aussi savoir que je vis à Bordeaux, soit à 50 minutes de voitures de l'océan atlantique et que comme beaucoup de bordelais je m'y rends à partir du mai et jusqu'en octobre durant de nombreux weekends. Puisque j'ai déjà l'océan près de chez moi, j'ai choisi d'aller à la montagne. Et j'y retourne avec plaisir. D'ailleurs j'attends ça avec impatience. En voici les raisons.
1. c'est moins cher
C'est quelque de chose de très connu et sûrement l'argument premier de beaucoup de vacanciers à la montagne. Oui, les vacances d'été en altitude, ça coûte vraiment moins, surtout au niveau des hébergements. Attention, certains refuges de montagne sur les sentiers de randonnées ne sont pas donnée la nuit entre 20 à 40€. Si vous faites le choix de bivouac en marchant, alors là c'est gratuit.
2. Éviter la foule
Deuxième argument très connu: il y a moins de monde à la montagne. Et c'est bien vrai. Cela fait du bien de faire des choses sans pour être des milliers de personnes au m2. Le touche touche serviette de la plage, ici on connaît pas.
Mais autre avantage, la trajet pour venir à la montagne se fera loin des bouchons pour aller au bord de mer.
3. c'est déconnectant
J'ai pu le constater l'an dernier mon téléphone ne m'a servi que de montre pour m'indiquer l'heure. D'ailleurs durant 3 jours dans le Parc National des Pyrénées, je n'ai pas eu du tout de réseau. Et cela ne m'a pas dérangé une seule seconde. J'ai d'ailleurs adoré ça. Je n'ai ni pensé au travail, ni au blog. A rien du tout, juste profiter de ce qui m'entoure. En vacances, on se déconnecte mais à la montagne c'est encore plus le cas surtout à cause - grâce - au réseau qui ne se trouve pas partout.
4. rencontrer la faune et la flore locale
C'est quand même pas tous les jours qu'on croise des marmottes ou qu'on mange des fraises et des framboises sauvages. Aller à la montagne à ce côté magique qui reconnecte à la nature.
5. Profiter des bienfaits de l'eau
A la montagne, il n'y a pas que la montagne, il y aussi beaucoup d'eaux: les lacs, les torrents glacés, les sources chaudes mais aussi les eaux des nombreuses stations thermales. Alors n'hésitez plus à vous jeter à l'eau. Bon certaines sont glacées quand même.
6. Du sport sans s'en rend compte
Même si vous ne partez pas en randonnée, vous ferez probablement des activités sportives à la montagne. Oui, ici on ne lézarde pas vraiment. Tout un tas d'activités - vélo, natation, parcours dans les arbres, luges d'été, via ferrata, parapente, ski d'été, escalade, canyoning, kayak... - nous sont proposés afin de vous occuper. On s'amuse énormément à la montagne, on découvre de nouveaux sports, de nouvelles sensations,... On fait de l'exercice sans s'en rendre compte et ça fait un bien fou.
7. se refaire une santé
Qui n'a jamais entendu qu'aller à la montagne, c'est profiter d'un grand bol d'air pur. Effectivement, il y a moins de pollution à la montagne que dans les grandes agglomérations. C'est un des meilleurs endroits pour se ressourcer.
8. la bouffe locale
En plus de la cueillette sur les sentiers de randonnée, quand celle-ci est autorisée, la montagne offre une gastronomie délicieuse: fromage, jambon et autre charcuterie, baies sauvage, lait, céréales, champignon, confitures ... La montagne est un vrai garde-manger réconfortant. En plus, comme on se dépense beaucoup ici, il n'y a pas scrupules à faire un bon repas gratiné aux fromages même en plein mois d'août. Oui, ici la tartiflette, la fondu ou la garbure sont des incontournables quelque soit la saison.
En montagne, il y a de nombreuses fermes et exploitations agricoles qui ouvrent leur porte pour des moments instructifs et gourmands. Je ne résiste jamais à l'aller chercher mon fromage directement à la ferme.
9. des panoramas à couper le souffle
Bon je crois que les photos parlent d'elles-mêmes. La montagne, c'est beau et un point c'est tout! Ici, vous pouvez changer de paysages d'un versant à l'autre, d'une vallée à une autre: vallée historique, plateaux verdoyante, massifs de roches, sommets enneigés, forêts, lacs et torrents, ... La diversité des paysages est exceptionnelle à la montagne. Et en plus de la montagne, il y a les constructions humaines: les villages perchées, les églises à flanc de colline ou tout en haut de la montagne. Tout ça est splendide.
10. éviter la canicule
C'est vrai, il fait moins chaud en altitude. Même si toute la France croulera sous des chaleurs étouffante, à la montagne il fera toujours frais. La température idéal est ici; il faut ni trop chaud, ni trop froid. Et en plus, comme je vous l'ai déjà dit, ici l'air est pur.
Alors qu'est-ce que vous attendez pour aller partir à la montagne l'été. Si vous voulez voir mes parcours de randonnée et mes aventures à la montagne, je vous invite à consulter mon second blog My Travels with Love.
Et vous, où partez-vous en vacances? Et pourquoi?

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GR10: du refuge des Oulettes de Gaube au barrage d'Ossoue
mardi, août 04, 2015
Du refuge des Oulettes au barrage d'Ossoue
Voici la troisième étape de notre randonnée d'été de l'an dernier sur le GR10. Dans le précédent article, nous vous avions laissé au refuge des Oulettes de Gaube. Réveillés au petit matin avec les moutons et les marmottes, nous avons refait notre paquetage pour reprendre la route. Mais avant nous avons profité des commodités du refuge pour faire un brin de toilette. C'est si agréable. Et puis nous avons également fait le plein d'eau potable grâce au robinet derrière le refuge en libre-service. Maintenant que nous sommes tout beau, tout frais, c'est parti pour la marche.
Du refuge des Oulettes au barrage d'Ossoue en passant par la Hourquette d'Ossoue
Nous souhaitions attendre le refuge de Baysselance pour le déjeuner. Cette étape entre les refuge des Oulettes et celui de Baysselance est l'un des plus courte sur le GR10 entre 2 et 3 heures selon votre marche et votre charge. En plus le dénivelé est assez important, 600m. La montée est régulière et très caillouteuse. C'est une étape assez facile en fait mais elle donne d'avoir du souffle. Profitez-en pour faire des petites pauses et admirer le panorama qui s'offre à vous, d'un côté le Vignemale et de l'autre le Lac de Gaube en contre-bas. C'est magnifique. On commence même à croiser de plus en plus de marmotte.


Après avoir déjà bien monté, on arrive à la bifurcation du col d'Arraillé. Si vous partez dans cette direction vous pouvez rejoindre Cauterets, tandis que si vous continuez en direction de la Hourquette d'Ossoue vous vous dirigerez vers le Vignemale et le refuge de Baysselance. C'est notre direction, c'est donc reparti pour la montée. Nous sommes en plus en plus haut. Un signe nous l'indique car nous croisons même de la neige, à cette altitude, nous rencontrons des névé.
Pause en route
Après avoir bien serpenté sur ce chemin de roches et de cailloux, il faut produire un dernier effort pour atteindre la Hourquette d'Ossoue qui est le point culminant du G10, 2734m.
Arrivés à ce point, on en profite pour contempler tout le chemin parcouru avec du soleil sur la vallée de Cauterets et de la brume et des nuages pour notre position montagneuse. La tête du Vignemale est d'ailleurs pris dans le mauvais temps. C'est pourquoi nous décide de ne pas en faire l'ascension et de rejoindre directement le refuge de Baysselance pour un bon repas.
Après la Hourquette d'Ossoue le sentier redescend vers le refuge de Baysselance mais la marche n'en est pas plus facile en raison de tous les cailloux. A chaque pas, il faut attention et que le pied ne roule pas dessus. En fait, au passage de la Hourquette, ce paysage jusqu'à Baysselance m'a donné l'image d'une terre désolée. Des cailloux à perte de vue fouettés par un vent frais et puissant. J'ai pensé au Mordor dans le Seigneur des Anneaux.
Déjeuner au refuge de Baysselance
30 minutes plus tard, nous sommes au refuge avec grand faim. Oui, normalement c'est moins de temps mais nous sommes encore hyper chargés à ce stade de la rando car nous sommes partis en autonomie complète. Nous avons mangé ce que nous avions apporté, purée-saucisson, si ressourçant. Mais nous n'avons pas résisté à prendre un dessert et un vin chaud bien mérité. Cette pause au refuge a été si bien que je ne voulais pas repartir. D'ailleurs nous sommes restés assez longtemps. Un risque d'orage été annoncé dans la vallée pour la fin de soirée. Il fallait donc ne plus trainer pour atteindre le barrage avant la nuit.
Après s'être bien restaurés et réchauffés, nous sommes repartis en direction de la vallée d'Ossoue avec un pas assez vif. La descente est assez facile. Le chemin serpente beaucoup au départ. Assez rapidement, vous arrivez aux grottes de Bellevue, qui effectivement ouvrent une vue magnifique sur la vallée d'Ossoue, le crique de Gavarnie et même la brèche de Roland quand le temps nous le permet.
Si vous pensiez bivouaqué ici, c'est raté. Malheureusement, les grottes sont plutôt des poubelles que loges accueillantes. C'est bien dommage. Je regrette que la montagne soit pris pour un vide déchets trop souvent. Nous continuons notre descente accompagnée de plus en plus par des paysages verdoyants, des marmottes et des iris aux couleurs magnifiques. Le beau temps revient pour notre marche.


La marche n'est pas difficile, mais si vous avez le vertige faites attention car cela descend beaucoup. En plus, il y a un passage assez difficile quand le sentier devient très rocailleux et passe à flanc de colline. Il faut être vigilent car ce passage peut être glissant en cas de mauvais temps.
Pause en route
Nous avons également passé plusieurs névés durant notre descende. Encore une fois, il faut être prudent. Après tour ça, le lac et le barrage d'Ossoue apparaissent enfin dans notre ligne de mire. Cela paraît proche mais en fait il reste quand même un peu de marche.
Il faut rejoindre la passerelle, pour être dans une prairie. Attention ne bivouaquer pas ici car il s'agit du lac réservoir du barrage. Il est totalement interdit et dangereux de dormir ici en raison de la fluctuation du niveau des eaux du barrage. Vous devez absolument rejoindre le barrage. Ici le chemin plat se fait très rapidement.
La barrage d'Ossoue marque le début du Parc des Pyrénées. C'est ici que nous décidons de bivouaquer car le mauvais temps est revenu et l'orage gronde. Nous nous empressons donc de planter notre tente à côté de la petite cabane, de manger et rentrer dans la tente. Nous avons bien fait car l'orage est arrivé et surtout ses vents puissants qui nous ont fait passé une première partie de nuit très agitée à tenir notre tente de l'intérieur.


Bivouac au barrage d'Ossoue/ Ravitaillement en eau au barrage d'Ossoue (dans un torrent, besoin de traitement d'eau)
L'orage passé la nuit fut très tranquille et longue car nous étions assez épuisés de la journée et surtout de son final explosif, venteux et pluvieux.
On se retrouve bientôt pour la suite de notre voyage du barrage d'Ossoue à la Grange de Holle pour une petite étape.
Et vous, allez-vous à la montagne l'été?
Autour de Cia
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GR10: De Cauterets au refuge des Oulètes de Gaube
dimanche, août 02, 2015
De Cauterets au refuge des Oulètes de Gaube
Voici la seconde étape de nos vacances de l'an dernier. Lors d'un précédent article, je vous avez laissé à notre bivouac de Cauterets à côté des thermes de Pauze-Vieux. Aujourd'hui, nous reprenons la route en direction du massif du Vignemale. Cette étape nous a réservé beaucoup de surprises comme vous le verrez.
Départ de Cauterets au refuge des Oulètes de Gaube en passant par le Lac de gaube
Après un bon et copieux petit déjeuner, nous avons replié notre tente et refait notre paquetage pour reprendre le sentier en direction de La Raillère. Le sentier passe par la forêt par le chemin des Pères, avec par moments une corniche en pierre qui offre de jolis point de vue sur la vallée de Cauterets. Ce chemin est très facile à pratiquer et débouche sur la cascade de Lutour. Magnifique paysage. Quelques quelques photos et quelques éclaboussures, nous sommes descendu en directement de la Raillière.


Une odeur d'oeufs pourris accompagne notre arrivée à la Raillère. Rien d'étonnant puisqu'il s'agit de souffre comme en témoigne les dépôts jaunes sur les roches dans le gave. Vous comprenez donc pourquoi les établissements thermaux ont été construits à cet endroit pour bénéficier de cette eau soufrée.
La Raillère est l'un des points d'accès au Parc National des Pyrénées. Le chemin qui mène au pont d'Espagne, puis au Lac de Gaube est particulièrement fréquenté en été par les touristes pour une marche d'une journée. Il y a un parking au départ, un restaurant au pont d'Espagne, la possibilité de prendre le télésiège pour rejoindre le lac. C'est la promenade idéale pour la journée.
Nous étions donc loin d'être seuls pour cette étape du sentier et tout ce monde nous a ralenti. Au lieu de faire la section La Raillère-Pont d'Espagne en 1h30 comme le décrit le topo-guide, nous avons presque doublé ce temps. Plusieurs raisons à cela: nous étions très chargé, puis la fréquentation. Nous avons eu l'impression de piétiner et de nous faire bousculer, ce qui ne fait pas du bien au pied justement. Parmi tout notre séjour, c'est l'étape que j'ai la plus détestée faire. C'est bien dommage car le lieu est vraiment sympa, la forêt, plusieurs cascades, on longe la rivière.
L'arrivée au pont d'Espagne a sonné notre déjeuner. Nous avons trouvé une place pour notre réchaud parmi tous les touristes d'un jour. En effet, peu sont ici pour faire le GR 10, beaucoup sont là pour monter au Lac de Gaube le temps d'une journée.
Déjeuner au Pont d'Espagne / Possibilité de ravitaillement en eau potable
Comme nous ne voulions pas re-piétiner sur le sentier menant au lac, nous avons décidé de tricher un peu et de nous avancer en prenant le télésiège. Normalement, il n'est pas possible de ne faire que l'aller (on doit payer l'aller-retour ou alors seulement le retour). Mais nous avons expliqué notre situation aux agents saisonniers, qu'on souhaitait monter plus rapidement pour aller sur le GR et nous rendre au refuge de la Hourquette. Ils ont décidé de nous faire payer seulement le prix du retour et nous avons utilisé notre ticket pour la montée. C'était vraiment commercial et sympa de faire ce geste.
Nous avons donc embarqué dans le télésiège, nous en premier et nos sacs dans le télésiège derrière nous. J'ai passé la montée à regarder si nos sac n'allaient pas tomber. Mais tout c'est très bien passé.
En haut, nous avons continuer vers le lac. Nous avons fait une petite pause barre énergétique et téléphone avant de perdre le réseau pour plusieurs jours. Déjà, il faut bien le chercher le réseau à cette altitude. C'est aussi ici que nous avons vu notre première marmotte, mais de très loin. Ici, vous pouvez trouver un restaurant et un café.
Pause au Lac de Gaube
Le lac est magnifique. Le paysage est à couper le souffle. Je comprends pourquoi autant de gens souhaite monter ici l'été. Je n'ai pas résisté à mettre mes pieds dans l'eau. Celle-ci est glacée. Ce n'est pas là que je vais utiliser mon maillot de bain.
Le sentier du GR10 contourne le lac. A partir de cet endroit, vous êtes de plus en plus seuls. En effet, peu de personnes font le tour du lac. D'ailleurs, vous voyez déjà le chemin que vous allez d'avoir emprunter. La silhouette du Vignemale vous accompagne durant le début de ce voyage.
Après avoir franchir un petit torrent, vous montez en direction de la cabane du Pinet. Celle-ci offre un abris pour les randonneurs. Autour il y a d'ailleurs beaucoup d'endroits pour bivouaquer, sûrement avec les vaches qui sont très présentes l'été.
Comme nous avons encore du temps devant nous, nous avons décidé de continuer pour la journée et d'atteindre le refuge des Oulètes de Gaube. Il faut compter entre deux bonnes heures selon le poids de votre paquetage et votre allure. Sachez également qu'il y aura peu d'endroits pour établir votre bivouac entre la cabane du Pinet et le refuge des Oulètes de Gaube, en raison des terrains très humides à cette altitude. Il faudra donc être sûr d'avoir la force d'atteindre le refuge avant de vous lancer.
Après la cabane du Pinet, nous continuons à monter très rapidement dans un paysage de grandes pierres. Nous suivons le torrent, nous attendons la cascade d'Esplumouse. La vue est belle mais pour nous elle fut assez brumeuse. Le temps s'est adoucit durant notre ascension.
Puis le sentier passe par une passerelle qui franchit le gave des Oulètes de Gaubes et débouche sur un plateau assez reposant pour les pieds. Veuillez à bien suivre le sentier car les pâturages de ce plateau sont très bourbeux. Ici nous avons la chance d'apercevoir dans la brume des izards.
Mais nous ne sommes pas encore arrivés au refuge. Il faut continuer à monter par un escarpement granitique. Puis, on arrive encore sur des pâturages. Au bout de cela il ne reste plus qu'à gravir le sentier dans la montagne pour déboucher sur le refuge . Ici vous pouvez bivouaquer sans problème. Vous avez également accès au refuge.
Bivouac au refuge des Oulètes de Gaube/ Possibilité de restauration et eau potable derrière le refuge.
Nous avons donc passer la nuit ici avec de nombreux autres randonneurs. En effet, il y avait un petits champs de tentes. Durant la nuit, nous avons été réveiller par un orage. Choisissez bien votre terrain de bivouac car nos voisins de camping ont été inondés et ont dû passer une partie de la nuit à sécher le matériel et replanter.
Le levé du jour s'est accompagné du son des cloches des moutons et brebis, mais aussi par des marmottes.
Avoir accès au refuge fait un bien fou. Grâce aux commodités, vous pouvez faire un brin de toilette si régénérant pour la suite de votre marche.
On se retrouve bientôt pour la suite de notre voyage du refuge des Oulètes de Gaube au barrage d'Ossoue.
Et vous, quelles sont les randonnées que vous avez déjà effectuées?
Autour de Cia
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